La malédiction des pharaons frappe encore

Malgré l’élégance d’Arrivabeni, "Aida" à nouveau victime du spectaculaire.

Guy Duplat
La malédiction des pharaons frappe encore
©LLB

Sur le site de l’ORW, "Aida" est annoncé comme "l’opéra spectaculaire par excellence". Funeste malentendu dont l’œuvre est victime depuis longtemps : au motif d’une scène triomphale (la marche du deuxième acte, avec ses fameuses trompettes thébaines), trop de metteurs en scène versent dans le péplum. Pour cet acte, mais aussi pour les trois autres qui, pourtant, appellent plutôt l’intimisme.

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