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«Ariodante» nous hante comme un rêve archaïque

Ariodante (le brillant contre-ténor ukrainien Yuriy Mynenko) en proie au désespoir: «Ta trahison me conduit dans les bras de la mort».

D'abord, il y a la musique. Chez Georg Friedrich Haendel, elle peut facilement devenir une tapisserie élégante et mélodieuse. Evitant ce travers, Diego Fasolis empoigne l'OCL pour sculpter dans Ariodanteun condensé de sentiments bruts. La joie y est aveuglante, la cruauté grisante, la colère électrisante.

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